Ces trois membres du personnel de la SFI travaillent à temps plein et poursuivent en même temps des programmes chargés de perfectionnement professionnel continu.
Lydia Kidane, gestionnaire des partenariats pour les parcours professionnels à la SFI, a récemment obtenu un diplôme d’études scientifiques supérieures (maîtrise) en gestion des ressources en eau du Centre de l’Agriculture, de l’urbanisme durable et des sciences environnementales (CAUSES) de l’Université du District de Columbia (UDC). Ce programme d’études se concentre sur la gestion de la qualité de l’environnement, y compris la surveillance, l’évaluation et le traitement de la qualité de l’eau, la modélisation et la simulation de la qualité de l’eau, les analyses hydrologiques, l’analyse du rendement des infrastructures vertes, les meilleures pratiques de gestion des eaux de ruissellement, la restauration des cours d’eau et d’autres ensembles de compétences.
« Je voulais parfaire mon éducation et mes compétences pour être en mesure de relever les défis mondiaux de la disponibilité, de la qualité et de la durabilité de l’eau », fait savoir Lydia Kidane. « Avec son approche interdisciplinaire, le programme m’a permis d’acquérir une connaissance approfondie des sciences physiques, chimiques et biologiques applicables aux systèmes urbains, et m’a aidé à développer des compétences en matière de politiques environnementales, de communication, de gestion d’entreprise, de gestion de projets, d’éthique et de leadership. Bien que ce programme soit conçu pour des professionnels en activité, je dois admettre que j’ai parfois eu du mal à concilier études et travail, » ajoute-t-elle.
Lydia Kidane, responsable des partenariats en matière de parcours professionnels à la SFI, a visité les célèbres chutes de Multnomah dans l’Oregon alors qu’elle se trouvait dans la région pour le congrès annuel 2023 du Project Learning Tree (PLT) à Stevenson, dans l’État de Washington, en mars dernier.
Lydia Kidane a eu un déclic lors de l’évaluation d’un cours d’eau dans la région de Washington, DC.
« Ce ruisseau était très affecté par l’activité urbaine environnante et avait fait l’objet d’un récent projet de restauration qui comprenait la plantation d’arbres et de végétation pour réparer la zone riveraine », indique-t-elle. « Il s’agit d’un exemple visible de la façon dont les arbres urbains rendent d’immenses services pour protéger nos ressources limitées en eau douce, » précise-t-elle.
Pour en savoir plus sur le parcours professionnel de Lydia Kidane, pour devenir gestionnaire des partenariats de perfectionnement professionnel, et sur son programme d’études supérieures, consultez l’article de fond publié à son sujet en cliquant le lien suivant : SFI-PLT-MANRRS Black Faces in Green Spaces: The Journeys of Black Professionals in Green Careers Guide.
Alix Olson, coordonnatrice de la foresterie urbaine et communautaire de la SFI, a récemment été reçue à titre d’arboricultrice certifiée par la Société internationale d’arboriculture (ISA). Cet agrément atteste qu’elle a démontré ses connaissances et ses compétences dans tous les aspects de l’arboriculture, c’est-à-dire le soin et la gestion des arbres, des arbustes et des plantes ligneuses, souvent en milieu urbain. Alix Olson est titulaire d’un diplôme de premier cycle (baccalauréat) en foresterie urbaine de l’Université de Colombie-Britannique.
Alix Olson savait que l’examen serait difficile : elle l’avait passé il y a environ deux ans et avait manqué de peu la note de passage.
« L’examen d’agrément était beaucoup plus difficile que je ne l’imaginais, et je me pince encore d’avoir réussi à le passer. Cela m’a permis d’apprécier davantage les personnes qui poursuivent ce programme de formation, car ce n’est pas facile », indique-t-elle.
Alix Olson, coordonnatrice de la foresterie urbaine et Communautaire de la SFI, en forêt près de chez elle, en Alberta.
Le maintien de la certification d’arboricultrice agréé de l’ISA nécessite l’obtention de 30 crédits de formation continue par an.
« Je participe constamment à des webinaires virtuels pour me renseigner sur les techniques et les formations nouvelles et actualisées dans le domaine de l’arboriculture, ce qui m’est très utile, car je fais beaucoup de recherches dans le cadre de mon poste à la SFI », indique Alix Olson. « J’ai eu l’occasion d’assister à mon premier congrès annuel de l’ISA cette année à Albuquerque, au Nouveau-Mexique. C’est d’autant plus spécial que j’ai pu faire le lien entre ma récente certification et l’annonce de la nouvelle Norme de durabilité des forêts urbaines et communautaires de la SFI.
James Thordarson, RPF, James Thordarson, R.P.F., coordonnateur de l’éducation forestière de la SFI, a été reçu à titre de que forestier professionnel agréé (RPF) de l’Ontario (Canada) par l’Ontario Professional Foresters Association (OPFA), l’organisme chargé par la loi de réglementer la pratique de la foresterie professionnelle en Ontario.
James Thordarson est titulaire d’un diplôme d’études de premier cycle (baccalauréat) en sciences forestières de l’Université Lakehead, à Thunder Bay, en Ontario, un programme accrédité par le Bureau canadien d’agrément en foresterie (BACF). Il a donc satisfait aux exigences de l’OFPA en matière d’éducation. Après avoir rempli ses formulaires de demande, il a entamé une période de 18 mois en tant que membre provisoire (RPF en formation), au cours de laquelle il a bénéficié du mentorat d’un autre RPF.
James Thordarson, coordonnateur de l’éducation forestière de la SFI, lors d’un récent événement du programme Outland Youth Employment Program (OYEP) visant à fournir un éventail complet d’opportunités d’éducation, de formation et de carrière dans le secteur des emplois verts pour les jeunes Autochtones au Canada.
Il a également démontré ses capacités professionnelles, c’est-à-dire qu’il a fait preuve d’habileté au plan technique, de connaissances, de compétences et de jugement en foresterie professionnelle appliquée. Il a également démontré qu’il possède la connaissance requise des lois, des politiques et des pratiques pertinentes liées à l’exercice de la foresterie professionnelle en Ontario. Maintenant qu’il détient le titre professionnel FPR, James Thordarson doit respecter à le lettre les codes de déontologie et les normes d’exercice de l’OPFA et maintenir ses compétences au moyen d’une formation continue obligatoire.
« J’ai cherché à obtenir le titre de forestier professionnel agréé (RPF) parce que je veux continuer à apprendre au plan professionnel et mettre en valeur mes propres compétences et mon expérience », signale James Thordarson. « Le fait de détenir le titre de RPF montre à mes partenaires des programmes éducatifs et au grand public que j’ai la formation, les connaissances et l’expérience nécessaires pour travailler dans le domaine de l’éducation forestière et que je suis tenu responsable de la qualité de mon travail par l’OPFA, » ajoute-t-il.
Dorénavant, James Thordarson portera fièrement la mention « RPF » à la suite de son nom, et il continue à soutenir la création et la promotion du travail d’APLA Canada dans les domaines de l’environnement, de l’éducation forestière et des carrières vertes. Plus récemment, il a contribué à la publication des ressources numériques Changement climatique et forêts : de la graine au puits de carbone forestier, unité d’apprentissage destinée aux élèves du secondaire 2 au secondaire 5, à la collection d’activités Nature of Fire (en anglais) pour les élèves de la 6e année au secondaire, et au nouveau programme pédagogique canadien, Explore Your Environment : Guide d’activités pour les élèves de la maternelle à la 8e année (en anglais).
